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Eole in Cork

My new greenish home-island.

Monday, July 17, 2006

C'est fini

Salut tout le monde.

Ça vous épate de voir un message ici ! Et bien non, vous ne rêvez pas.

Cela fait un petit moment que je suis retourné vivre en France et que je n'avais pas pris le temps de clôturer ce blog. J'ai depuis début mai 2006m quité la terre des courants d'Eire et ai repris un nouveau travail sur la capitale des fromages qui fouettent. J'ai une nouvelle maison avec un nouveau super colloc :-)

Qui sait, combien de temps resterai-je sur place ? Aucune idée. Une chose est sure, j'ai laissé derrière moi des gens bien en Irlande. À Cork et ailleur. Je reviendrai, c'est promis.

J'ai fait un petit voyage le long de la cote ouest d'une semaine et demi avant de rentrer. Vous pouvez trouver les photos sur mon compte flickr: http://www.flickr.com/photos/eole

J'en profite pour dire que j'ai des amis qui prennent le relais. Mélanie et William vont s'installer un an en Australie. Je vous invite à suivre leurs aventures. sur : http://melanie-in-oz.blogspot.com/

Et pour conclure, mon pote Éd, le roi du béton se lance dans le partage de sa pation de la vie interessante de son quotidien: http://attention-travaux.blogspot.com/

Merci à vous de m'avoir lu durant tout ce temps.
C'est fini

Thursday, February 02, 2006

Donner envie de venir

On vous acceuillera avec plaisir....
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Wednesday, February 01, 2006

Les Guitouz

Ça nous a fait vraiment bien plaisir d'avoir la visite de Guitou, Sonia et le beau temps pendant ce sympatique petit weekend. On s'est refait un galette pour l'occasion ;-)
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Wednesday, January 25, 2006

La galette - partie III


Le weekend dernier on a fait une gallette des rois (carré :-() mais tout à fait succulante !)

Monday, January 23, 2006

Attentions aux pilleurs de tombes venus de l'espace !

Ce n'est pas par flemme si je ne poste pas beaucoup ces derniers temps. Internet c'est trop la loose chez nous. À la base, l'Irlande, ce n'est pas la fête du slip pour ça, mais je crois qu'on est tombé sur le pire des FAI.

Tout ça pour dire que pour Noël dernier, Vincent n'avait pas aprécié mon cadeau qui était d'utilité publique : un grille pain. Il a donc été le changer et à pu récuperer des sous (et non un avoir !).

Au moins, il a du coup commandé un jeu de société très rigolo, Ça se nomme « Pilleurs de tombes venus de l'espace ». Le jeu est très simple et très marrant. Tout est basé sur 120 cartes spéciales. Le thème du jeu est les vieux films de S.F. et d'horreur.

Il faut constituer le film contenant le plus de points pour gagner la partie. Évidemment, on se fait attaquer par les autres joueurs et il faut pouvoir riposter ...

Les cartes sont divisée en cinq catégories :
  • Les personnages qui sont les acteurs du film.
  • Les accessoires pour équiper les personnages.
  • Les décors où se passe l'action de notre film.
  • Les créatures pour attaquer les film des adversaires.
  • Les effets spéciaux que l'on peu jouer à n'importe quel moment et altèrent le cours de la partie.

Même pas peur d'abord !

Comme vous pouvez vous en douter, à votre tour, vous posez sur la table les cartes intéressantes que vous aviez en main. C'est votre film. Chaque carte de personage et de décor apporte des points de défense. Quand un joueur adverse envoie une créature, c'est contre tout le film ; on doit faire la somme de ces points de défense.

En général lors d'une partie, les cartes qui forment le jeu arrivent et partent très vite. On peut mettre autant de personnage que l'on pioche, en revanche, on ne peut mettre qu'un seul décor et on peut remplacer le décor des autres afin de les pénaliser.

C'est comme ça que lors d'une partie, Mon film s'est vu résumé à : « un autostoppeur » (1 défense), « la nymphomane » (3 défense) à « l'arrière de la voiture » (-5 de défense).

C'est à ce moment là que quelqu'une carte « effet spécial » qui peut être jouée n'importe quand. Ma « nymphomane » se prend le sort. « On a vu tes seins, tu vas mourir ». Je dois donc me défausser de mon personnage, ce qui affaiblit mon film.

Vous l'avez compris, c'est bourré de clichés et de stéréotypes. Les cartes créatures vont des aligators albinos aux vénusiens enragés en passant par l'auto stoppeur psychopathe.

Ce jeu existe également en français et trouvable dans toute boutique spécialisée. Vincent a également eu pour Noël des jeux similaire qui sont des variantes sur le thème basées sur le même principe.

L'ambiance du premier porte sur les vieux films d'aventure des années 30 et India Jones. Le second est basé sur les films des année '70, mêlant Affro & Disco, Le Parrain & autres polars, les Dents de la mer. Le dernier est la « suite » des Pilleurs: « La revenche du chien Skippy ». C'est juste un tout nouveau set de carte toujours dans le thèmes des nanards de la horreur/SF pour le plus grand bonheur de tous.

Sunday, January 15, 2006

Carré-ment galette !

On vient de faire le petit repas de Noël chez John et Corinne au bord de la mer. Comme d'habitude, c'était rudement bon !

J'ai eu le droit à une de ces surprises ! Corinne à fait une galette des rois. Elle était succulente ! Vincent nous a sculpté une petite fêve dans un haricot ;-). Je me rends compte mainteant que c'est également lui qui a eu la couronne. Je sens comme s'il y avait baleine sous caillou.

La galette maison avait tout de même un petit problème. Elle était ronde !

J'étais le plus jeune, alors j'ai du aller sous la table. C'était également le moyen le plus simple pour "sortir de table" vu que j'était coincé entre de charmantes dames.

Un bon weekend reposant avec des gens agréable. Ça fait trop du bien.

Tuesday, January 10, 2006

Le moustachu permanent :-)

  John, le moustachu.

Qui fait son malin, tombe dans de ravin

Peter, la plus longue n'est pas un gâge de qualité

Hier, je suis allé voir Kingkong. Je trouve qu'il n'y a pas eu beaucoup d'amélioration en 70 ans. Le succès du premier opus en 1933 est tout à fait compréhensible, mais le public de nos jours n'attend pas la même chose. Les effets spéciaux ne font pas un film !

De plus c'est long, beaucoup trop long ! J'ai l'impression que Peter Jackson est trop habitué aux super productions avec beaucoup de figurants, de gros paquets de dollars et des heures de compilation d'image synthètisées par ordinateur.

Ce qui pouvait passer avec le Seigneur des anneaux était valable étant donné la popularité de Tolkien et l'effet « nouveauté ». Mais avec King Kong, ça ne passe plus. Le film duren environ 3 heures qui me semblent tout à fait compressibles. La preuve, c'est que lorsqu'on y repense en sortant du film ; on se demande, vu la linéarité de l'histoire, comment il a fait pour remplir ses 3 heures. C'est simple, certaines scènes n'en terminent pas ! Je ne les citerai pas, par ce qu'on les connait toutes par coeur, le film se veut très fidel à l'original. Trop peut-être ?

Cela reste néanmoins un film divertissant. Profitez que l'hiver dure encore deux mois pour passer vos longues après-midi où la lumière a plié bagage avant l'heure.

La chute

Comme le reste du film, le gorille met trois plombe se faire toucher par l'USAF. Ensuite sa chutte et loooongue. En plus on se tape du ralenti !

Les lumières s'allument et une fois sorti de la salle les amis qui m'avaient accompagnés apprenons qu'une fille est tombée dans la rivière (la même où j'avais vu un phoque faire surface, quelques mois au paravant).

Mon regard est attiré par les lumières de deux camions de pompiers qui se stationne à 5 mêtre du cinéma.

Comme pas mal de monde, nous nous approchons du pont qui se trouve à un vingtaine de mêtres de la préposée chute.

Tout se passe très vite : Je jette un coup d'oeil vers le bas de la rivière. Le niveau est bas, la digue fait dans les trois mêtres. Juste à ce moment là les pompier passe un coup de projecteur. Je perçois un pantin désarticulé. Compte tenu des vêtements et de sa taille, ça correspond bien à une jeune fille (entre 6 et 16 ; C'est pas très précis, mais je vous rappelle que je suis à 20m et il fait nuit).

Je ne vois plus d'interêt à rester figé là ; je décide partir promptement. Je me retourne et lis les visages des autres passants qui se transforment rapidement de la curiosité à la légère indignation avec une pincée de tristesse.

Dans ces moments, on à vraiment envie de se dire : « Ça y est ? t'es content ? T'as vu ce que tu voulais voir ? Et alors, ça t'apporté quoi ? Ça t'avance à quoi maintenant ? » Et là, tu te sens idiot. Ne serait-ce parce que tu ne peux bi rien faire, ni rien dire.

C'est là où l'on voit les différentes personnes. Celle qui vont faire des blagues pour dédramatiser et réchauffer l'ambiance, ou ceux qui préfèrent ne rien dire et prendre sur eux même. J'ai pris parti de la première catégorie, vu que mes jeunes amis n'avaient pas l'air dans leur assiette.

On ne se rappelle jamais assez à quel point la vie à rien. Dans ce genre de moment, King Kong a l'air encore plus de pacotille que ce qu'il ne pouvait déjà l'être. Pour cette jeune fille, je ne sais rien de plus et je doute qu'elle ait survécue à sa chute.

Le fin mot de l'histoire, c'est que le plus bête de tous, c'est moi. J'ai quand même dit a mes potes avant de m'approcher de la rivière : « Encore un qui n'a pas supporté les longueurs de King Kong ». Des fois, on comprend à quel point pourquoi le silence est d'or. Ça m'apprendra à faire le singe.


Je n'ai pas été beaucoup plus marqué ça de cette histoire, mais je suis tout de même allé au pub un peu plus tard dans la soirée pour écrire mon journal, ne pas rester dans mon tout petit quelques mêtres carrés ; certainement un besoin de penser à autre chose.

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C'est marrant, j'ai encore rencontrée plein de monde. Avec entre autres, de charmantes petites américaines en visite sur notre vieux continent.

Il y en avait une mignonne comme tout qui me faisait pas mal de sourires timides dès que je croisais son regard qui me pris en photo presque par surprise.

J'aime à penser le fait que je ne saurai jamais si c'est parce que je lui ai plu ou si c'est parce que je suis le français vagabon dans le pub traditionnel, une sorte de curiosité locale en quelque sorte.

Ahh nos cher amis les américains, une chose est sûr, on a beaux étre tous occidentaux ; nous ne sommes définitevement pas sur la même longueure d'onde. ;-)

Ma soirée s'est terminée tout calmement avec un bon bouquin et au lit. Heureusement pour moi, j'ai fini 1984 de George Orwell la veille :-)