Eole in Cork: July 2005

Je ne vois pas le rapport ...

... de stage avancer. C'est à rendre pour dans 3 semaines et je n'ai que 8 pages :-(

J'ai grave la motiv ;-)

Pascal Basque, le retour

Tout à commencé Jeudi dernier. J'ai envoyé un SMS à toutes mes connaissances sur Cork pour faire la fêtnat. Il se trouve que j'ai également envoyer un message à Pascal, mon ami basque retourné sur Paris.

On s'est d'ailleurs tapé la causette un bon moment dans la journée.

Ce dernier m'appelle Vendredi soir pour me dire : « Salut Julien, au fait, je viens demain à Cork ». J'ai trop halluciné sur le moment. Ça fait vraiment plaisir.

Donc Pascal est venu passer la soirée avec nous à Cork. Il est arrivé par le vol unique d'Aer-Lingus et donc contraint de rentrer dimanche matin pour pouvoir travailler lundi.

Ce gros malin travaillant chez Air-France bénéficie de tarifs préférentiels. Bien que l'allé-retour lui ait couté 70€ (le samedi, c'est plus cher ...), il m'explique que c'est hors de prix par rapport à ce qu'il peut faire d'habitude (100€ pour aller à Bangkok).

Colin, mon deuxième ami de bière part dimanche pour Dublin où il prendra l'avion pour aller passer un mois d'itinérance aux États-Unis. Y en a qui ont des vacances et qui ont raison d'en profiter :-D.

C'était vraiment la soirée agréable, les trois amis réunis une dernière fois. Je ne sais pas quand sera la prochaine !

Aussi tôt Pascal arrivé, nous sommes allés nous prendre une petite mousse-terrasse au pub Franciscan Well. Le temps de retrouver Colin et Vincent. Nous avons diné dans un restaurant Mexicain qui n'était pas mauvais du tout, mais c'était complêtement hors de prix. On en a eu pour 27€ par tête pour un plat par personne plus le pichet de Margarita.

En suite on a fait la tournée de bars. J'ai croisé pas mal de gens que je vois régulièrement. Vers 2 heures quand les derniers bars ferment et que les gens cherches des soirée dans lesquelles s'échouer, mes deux compères trainent la pate et cherchent à rentrer à la maison. Je file mes clés à Pascal qui dort à la maison ce soir là.

En ce qui me concerne, j'ai bien trippé avec un ami Sicilien et nous avons suivi un groupe qui soit-disant allait à une soirée. On crapahute pas mal, c'est super loin (25 minutes de marche !). J'ai failli abandonner, lorsqu'on arrive devant la maison. On m'explique que c'est une collocation de lituaniens. Tous adorables ! Lorsque j'arrive devant la porte, une jolie petite lituanienne nommée Julia (prononce Youlia) m'acceuille avec un sourrire qui rendrait ses couleurs à un Grayfab.

J'ai pas trop tenté de faire le français dragueur, cliché french-kiss, toussa ... Surtout que je l'ai vu refouler pas mal de gars qui essayaient de l'embrasser après des flirts plus ou moins flagrants. Je me dis que ce n'est même pas la peine d'essayer.

J'ai apprécié la soirée, on a dancé, discuté. Et puis je suis rentré chez moi, me suis couché vers 7h du matin.

Je me suis réveillé pour dire au revoir à Pascal.

Dans l'après midi, je suis allé dans un parc avec mon portable pour essayer d'avancer mon rapport, mais j'ai trop du mal à me motiver. J'ai plutôt écris cet article.

Dimanche soir, je suis allé voir la Guerre des Mondes, c'est pas mal.

Le trio au grand complet avant le départ de Colin au E.U. et Pascal de retour à Paris

La galerie des photos du weekend

Est en ligne ! Sur http://eole.megarezo.org/Ireland-2005. Au programme, les photos des bateaux, des feux d'artifice et de la balade sur la falaise qui a faillit nous faire manquer le bus.

John et Corinne devant le bateau portugais

Feux d'artifices � Waterford

Sur le pont des Indos, on y danse, on y danse ...

Staying alive !

Vers l'infini et haut del�

D�part de la course des grands navires

H�l�ne commente le d�part avec son nouveau micro.

Coucou, c'est moi !

H�l�ne qui trouve un coquelicot (j'ai encore oubli� comment on dit en anglais)

Comment se rendre compte que le temps passe avec �a ?

La photo du jour

Tall ships

Salut, tout le monde, j'ai pas des masses de temps pour faire un super résumê.
De plus, j'ai déjà un weekend de retard sur mes aventures :-(

Vendredi soir

Je vais récapituler dans les grandes lignes, histoire qu'on se souvienne :-)

Vincent, Hélêne (une collègue de bouleau boulot) et moi sommes allés chez Corinne et John pour le weekend. Il se trouve qu'à Waterford êtaient était (attention à l'accent, et l'armada est au singulier) amarée une armarda de grands navires.

Vendredi soir, il y avait des festivités dans toute la ville, nous avons assisté à un joli feu d'artifice et nous avons finit par danser sur le pont du bateau indonésien. L'équipage était vraiment chaleureux. Il paraitrait que j'ai enflammé la piste :-)

Samedi

Nous sommes allês sur la cote pour aller voir les bateaux prendre la mer. C'est le début de la course jusqu'à Cherbourg.

Corrine et John sont allés chez des amis à Tralee (2h30 de route) et nous gentillement prétés leur maison.

Le soir, nous sommes sortis après une bonne ratatouille maison ! En fin de soirée on était un peu faits, Vincent et moi avons dansés sur de la techno dans où un DJ mixait de la musique acceptable.C'est la première fois que je vois Vincent tout déchainé de la sorte ! Malheureusement, je n'ai pas d'autre preuve que ma bonne foi.

Dimanche

Je me suis levé après tout le monde. On décide d'aller à la plage. Lorsque Vincent et Hélène partent, je ne suis pas prêt. Je leur dis que je vais les rejoindre dans 5 minutes, le temps de trouver mon maillot de bain. Je l'avais oublié, alors je prends mon appareil photo. Au moment où je sors (sans chaussures), je vois Patch qui me fait la moue. Je craque et l'emmène avec moi.

Moralité, c'était noir de monde, je n'ai jamais trouvé les lascars sur la plage, je les ai attendu pendant 1h devant la porte de la maison avec le toutou vu que j'avais ni clefs, ni télêphone. Je décide d'aller refaire un tour dans sur la plage. Rien.

Cette fois, quand je rentre, une écrevisse géante qui n'est autre qu'un molto tout cramé, m'ouvre la porte !

Un peu plus tard, on décide d'aller faire un tour sur la falaise. Vincent était loin devant. Hélêne n'as pas voulu me suivre jusqu'au bout parce que elle était en tongues. Quand je continue la balade, je croise Vincent dans l'autre sens. Il me dit que Corinne arrive dans 10 minutes. Malgrê le message, je n'ai pas vu le temps passer. J'ai pris de jolies photos aux pieds de ces tours étranges. Une d'entre elles supporte un bonhomme en métal qui pointe la mer du doigt.

Sur le chemin du retour, quand je m'aperçois que personne ne veut me prendre en stop, je me prépare à courir (2km, pas plat).

Je croise Vincent qui était à ma recherche. J'oubliais de dire que je n'avais pas mon portable avec moi. Trop facile. « On a loupé le dernier bus pour Cork », me dit-il. Corrine n'était pas loin et elle a fait la course avec la cocomobile pour rattraper le car.

On en voit deux sur la route, on décide d'en suivre un (ouf, c'était le bon). Ce dernier ne s'est pas arrété dans le prochain bled parce qu'il n'y avait personne. Du coup, après le virage, Coco s'est mise à lui faire des appels de feux, et autres signes. On s'est chacuns donnés des rôles : Hélêne va parler au chauffeur, Vincent file ouvrir la soute et moi je prends les affaires dans le coffre. Le car s'est rangé sur la gauche. C'est parti, top chrono. Là un gamin dans son jardin nous regarde et nous encourage !

Une fois dans le car, les quelques passagers nous acclament. On est de retour sur Cork. Encore Merci pour tout super Corinne ! Et merci à Régis pour sa relecture.

Encore d'autres photos !

Oyé, oyé !

Je viens de mettre d'autres galleries sur http://eole.megarezo.org/Ireland-2005.

Vous y trouverez des photos pas forcément récentes, mais qui vallent le détour :

Voilà, amusez-vous bien !

NOTE : Ma politique jusqu'à présent était de tout mettre sur mon site. Désormais, je fais beaucoup de tri dans les galleries. Je fais en sorte de ne garder vraiment que les photos les plus intéressantes, d'effacer les floues, etc. Cela me prends par conséquent plus de temps qu'auparavant pour mettre en ligne une gallerie (sans considérer le fait que j'ai une connection irlandaise :-))

Cork sans fil !

Dans tous les environs des les locaux de ma boite, je peux capter du Wifi® et avoir une connection à internet rapide, permanente et gratuite. J'avais déjà remarqué ça à l'aêroport. C'est génial !

J'ai découvert qu'il y a un projet pour créer un communauté sans fil. Le but est de faire un réseau urbain où tout le monde peut se connecter pour communiquer, échanger des données, jouer, ou travailler, etc.

C'est le projet « Cork wireless ».

Le retour des galleries

Ça y est, cette fois c'est bon ! J'ai généré la plupart des galeries photos depuis que je suis en Irlande. Elle étaient absentes sur mon site web principalement par flemme.

Un grand nombre de mes photos sont désormais accessibles sur http://eole.megarezo.org/Ireland-2005.

Amusez-vous bien, le temps que la suite arrive dans la semaine.

Photos du jour

Bon, on a peut-être enfin signé la fin d'une guerre d'influence entre les civilisations Anglo-saxonne et Française avec Londres 2012. Il va peut-être falloir songer à considérer que nous ne sommes pas tout seul sur cette planête :-)

Au moins on a une bonne nouvelle pour compenser cette déception nationale qui aurait permis une remotivation générale.

La loi qui visait à la brevatibilité logicielle est abandonnée en Europe.

De maniêre plus vulgarisée pour les néophites ; cela signifie que l'on peut réutiliser des idées, concepts ou code (bout de programme) librement.

Comme beaucoup de gens, je pense que cela à d'énormes avantages !

Pour vous donner une idée : aux États-Unis, oû les brevets sont en vigueur ; on peut, par exemple déposer un brevet sur le concept de « caddie élecronique » ; ou encore, le fait d'être prévenu quand quelqu'un tape du texte dans un client de messagerie instantanée et plein d'autres choses encore qui pourraient stopper la créativité sur notre continent.

Un autre exemple : Imaginez que je vueille monter une petite société qui vende un logiciel pas cher avec une interface graphique sans prétention. Je pourrais me trouver obligé de reverser des royalties aux détenants de brevets parce que j'utiliserai les principes déposés :

Petite croix en haut â droite pour fermer la fenêtre ;
pôt de peinture pour colorier du texte ;
bouton « OK » pour valider un choix ;
tout plein d'autres conneries dans le genre ...

Le problême principal que cela pose est, selon plein de gens, que ce sont principalement d très grosses entreprises qui peuvent se permettrent de tout breveter à la volêe. Ceci étoufferai les plus petites qui en seraient dépendantes. À savoir que lors de la fermeture de l'Europe, il y aurait eu en plus eu une guerre pour s'accaparer tous les concepts et idées actuellement en vigueur.

Pendant se temps ; le Kerry, depuis des siècles, est le confluent des mers, des terres et des vents, où ses vrais habitants sont en fait les moutons qui eux, n'en on rien à faire des brevets logiciels ou des Jeux Olympiques. Il pleut.